Lettre ouverte à Madame la Ministre des affaires étrangères.
Demande d’interpellation de la représentation française en Belgique et du
gouvernement français en faveur des grévistes de la faim opposés au projet d’autoroute A69


ENSEMBLE, SAUVONS LES ESPACES NATURELS ET LES SOLS VIVANTS DE BRUXELLES !SIGNER LA PETITION DEVENIR REQUERANT.E FAIRE UN DON
ENSEMBLE, SAUVONS LES ESPACES NATURELS ET LES SOLS VIVANTS DE BRUXELLES !SIGNER LA PETITION DEVENIR REQUERANT.E FAIRE UN DON
Demande d’interpellation de la représentation française en Belgique et du
gouvernement français en faveur des grévistes de la faim opposés au projet d’autoroute A69
Bruxelles, le 6 décembre 2023
Madame la députée, Monsieur le député,
Par la présente, l’asbl We Are Nature.Brussels attire votre attention sur plusieurs problèmes sérieux posés par l’avant-projet d’ordonnance « Bruxelles numérique » approuvé par le gouvernement bruxellois en deuxième lecture le 22 juin 2023.
Comme l’ont précisément démontré l’ASBL Lire et écrire Bruxelles et la Fédération des services sociaux, ce projet présente de graves dangers pour l’exercice de droits sociaux fondamentaux des bruxellois.e.s, singulièrement de ceux qui y ont déjà le moins accès. Il ne peut donc pas être
accepté en l’état.
Ce texte pose en outre des problèmes évidents au niveau environnemental, c’est la raison pour laquelle l’asbl We Are Nature.Brussels souhaite vous interpeller sur les éléments suivants:
1. L’impact environnemental du numérique est très élevé, et croît à un rythme qui n’est pas soutenable
a. l’empreinte écologique du numérique, générée notamment par la consommation énergétique qu’elle induit et l’extraction/transformation des minerais qui sous tend toute l’infrastructure numérique, est énorme et grandissante. L’empreinte environnementale du numérique n’est tout simplement pas soutenable.
b. très loin de constituer une mythique “dématérialisation”, la numérisation constitue en réalité une sur-matérialisation de l’économie qui s’apprête à buter sur les limites physiques de la disponibilité d’un nombre croissant de métaux.
2. La région bruxelloise ne maîtrise ni sa trajectoire climatique, ni l’impact environnemental et climatique de la numérisation de ses activités
a. Bruxelles n’est actuellement pas sur la trajectoire de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre qu’elle s’était fixée,
L’ASBL WE ARE NATURE ET THOMAS GOORDEN
DEMANDENT DE FAIRE TOUTE LA LUMIÈRE
SUR L’ETAT DES POLLUTIONS À BRUXELLES